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Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome2.djvu/283

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s ci : M- XI. 26 »

SCÈM< : XL

ii()ini : .Nsi : . m : ui.m-, i’Ashiin.

P A s Q L I \.

\l ; i(laiiii’. cil i ; iaii(l secrot, iiioiisieiir J)aiiii.s mon iiiaîtro…

HORTENSK.

(jiioi : no ^ion(ll■ait-il pas ?

l’ASOl i\.

—\on.

NÉRINE.

Mil le petit traître !

HORTENSE.

Il ne \ieii(li"a point ?

PASQLIX.

Xon : mais, par bon prof (( ! (’■. Il \()iis rend ce portrait dont il est excédé.

HOUTENSE.

Mo]] portrait !

PASQUIN,

Reprenez vite la miniature,

HORTENSE.

.le doute si je veille.

PASQLIX.

Allons, je vous conjure. Dépècliez-moi, j"ai hâte ; et, de sa part, ce soir, .l’ai deux portraits à rendre, et deux à recevoir. Jusqu’au revoir. Adieu.

HORTENSE.

Ciel 1 ([uelle perfidie ! .ren mourrai de douleur.

PASQUIN.

De plus, il vous supplie l>c Unir la lorgnade, et chercher aujourd’hui. Avec vos airs pinces, d’autres dupes que lui.