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Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome2.djvu/289

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SCÈM- : wni. 209

|)"()l"l \i<’Iil (|il(’ son |)()i’l|- ; iil, (|iic je lie ; ’i l ; i foi.

Se tromc ciilro ses jiiaitis ? Parle, ri’potids, dis-iiKii.

CLITANDIIK.

\ous iiiViiil)aiTassez Tort.

D A M I s, à Pasquin.

Et VOUS, moDsiciii- ! <■ tiaitro, Vous, le valot (rHortonse, on qui préteodez l’être, Il laiit qiio ^ous inoiirioz en ce lieu de ina main,

PASQLIN, à Clitandre.

Monsieur, protégez-nous.

CLITAXDKE, à Damis.

Eli ! monsieur…

DAMIS.

C’est en \ain…

CLITANOr.E.

Épargnez ce valet, c’est moi qui vous en prie.

DAMIS.

OuoI intérêt si grand peux-tu prendre à sa vie ?

CLITANDP.E.

Je vous en prie encore, et sérieusement.

DAMIS.

Par amitié pour toi je difTère un moment.

Çà, maraud, apprends-moi la noirceur efTroyable…

PASQLIN.

Ah 1 monsieur, cette affaire est embrouillée en diable : Mais je vous apprendrai de surprenants secrets, Si vous me promettez de n’en parler jamais.

DAMIS.

Non, je ne promets rien, et je veux tout apprendre.

PASQLIN.

Monsieur, Hortense arrive, et pourrait nous entendre.

I A Clitandre.)

Ah : monsieur, que dirai-je ? Hélas ! je suis à bout. Allons tous trois au bal, et je aous dirai tout.

SCENE XVIII.

HORTENSE, un masque à la main et en dominù ; T R A S I.M X

NÉRINE.

TRASIMON.

Oui, croyez, ma cousine, et faites votre compte