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292 LA Fl’TK DE BÊLÉ BAT.

I.E CHOEUR.

Ouaud rorage, etc.

LE COaVPIlÉE.

Bonhommo, ami du prochain, flnncnii d(^ rahstiiionco ; S’il prêchait la pônitenco, C’était 1111 verre à la main.

LE C H DE LU.

Bonhomme, etc.

DEUX JEUNES FILLES chantent.

Que nos prairies

Seront fleuries !

Les jeux, l’amour. Suivent Voltaire en ce jour ;

Déjà nos mères

Sont moins sévères ; On dit qu’on peut faire Un mari cocu.

Heureuse terre !

C’est à Voltaire

Que tout est dû,

LE CHOEUR.

Que nos prairies, etc.

LES JEUNES FILLES.

L’amour lui doit Les honneurs ({u"il reçoit :

Un cœur sauvage Par lui s’adoucit ;

Fille trop sage Pour lui s’attendrit.

LE CHOEUR.

Que nos prairies, etc.

Rcmercieniont ûu \ OI/l’AIUK au t-nrv.

C-iiré, dans (pii Ton voit les talents et les traits,

lia gaît(, la douceiii’, et la soil’ (’ternelle

Du CHIC (le Mcudoii, ([u’on nommait Rahelais,

Dont la mémoire est immoi’l(dle,

>ous avez daigné mo doinuM’ \()s talents, \()tre esprit, ces dons d’un dieu propice

C’est le pins charmant héiiédce

Que vous ayez à résigner.