Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome2.djvu/311

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LA FI- II- Dl- I5I’ : [.i-MAT. 291

Notre ca’iir te l.i (l(iii ! i(\ VA zon, zoii, /(Hi, etc. Tu connais le dcNoir Où cet lioiiiKMii- fc ii,ti ; i}i ; c ; Par un double pouvoir Mérite notre liouiniage, Et zon, zon, zon, etc.

(On annonce au coaiijuteur ses devoirs, i 1)11 poste Ol’l J’oll l’illll’llllllit

donnais l)ien toutes Jes charges ; Il faut des épaules larges, (.laiid’soif, et bon appétit.

(On répète.)

Du poste, etc.

On fait le panégyrique du curé, comme s’il était mort, i

UN CORYPHÉE chante.

Hélas 1 notre pauvre saint, Que Dieu veuille avoir son àme : Pain, vin, jarnl)on, fille, ou femme. Tout liii passait par la main.

LE CHOEUR répète.

Hélas ! etc.

LE CORYPHÉE.

11 eût (TU taxer les dieux D’une puissance bornée, Si jamais pour l’autre année l\ eût gardé du vin vieux.

LE CHOEUR.

Il eût cru, etc.

LE CORYPHÉE.

Tout Courdimanche en discord .Menaçait d’un grand tapage ; ïl enivra le village, A l’instant tout fut d’accord.

LE CHOEUR.

Tout Courdimanche. etc.

LE CORYPHÉE.

Quand l’orage était bien fort. Pour détourner le tonnerre, Ln autre eût dit son bréviaire, Lui courait au vin d’abord.