ACTE I, SCÈNE V. 469
SCÈNE V.
Éiui’uvi.i- : . zi : i.(jMi)i- : .
ÉIUPHYLE.
Je sens que je succombe à ma douleur morlelle, Alcméon ne vient point, l/a-t-on fait avertir ?
ZÉLOMDE.
D(’jà <hi cami) des rois il aura dû jjartir.
Ouoi, madame, à ce nom votre douleur rcdoiilde :
ÉHIPHYLE.
Je nV’prouvai jamais de [)lus funeste trouble. Si du moins Alcméon paraissait à mes yeuxl
ZÉLOMDE.
11 est l’appui d’Argos, il est chéri des dieux.
ÉIUPHYLE.
Ce n’est qu’en sa vertu que j’ai quelque espérance. Puisse-t-il de sa reine embrasser la défense 1 Puisse-t-il me sauver de tous mes ennemis ! dieux de mon époux : et vous, dieux de mon lils I Prenez de cet État les rênes languissantes ; Remettez-les vous-même en des mains innocentes ; Ou si dans ce grand jour il me faut déclarer. Conduisez donc mon cœur, et daignez l’inspirer.
FIN DL PREMIER ACTE.