VARIANTES D’ÉRIPHYLE. 513
Mon fils nio consolait de la mort d’un époux ; Mais il fallait lo perdre ou mourir par ses coups. ’J"r(jp (Ir crainte peut-être, etc.
l’iijxo 468, vers 18. — Au lieu de ce vers et des neuf qui le suivent, lédition de 1779 porte :
ÉRIPH VI. E.
On vrut que je l’épouse, et qu’il soit votre roi ?
POLÉMON.
.Madame, avec respect on suivra votre loi ; Prononcez : un seul mot réglera nos hommages.
ÉRIPHYLE.
Mais du peuple Hermogide a-t-il tous les suffrages ?
POLÉMON.
S’il faut parler, madame, avec sincérité,
Ce prince e^it dans ces lieux moins cher que redouté.
On croit qu’à son hymen, etc.
Ibid., vers 30. — Ce vers et les trois qui le suivent ne sont pas dans l’édition de 1779.
Pa2 ; e 469, vers 4. — Ce vers et les trois qui le suivent manquent aussi dans l’édition de 1779.
Page 470, vers 1". — Dans l’édition de 1779, l’acte commence ainsi :
Alcmcon, j’ai pitié de voir tant de faiblesse ; L’erreur qui vous séduit, la douleur qui vous presse,
De vos désirs
Éclatent et parlent,. .
Ibid.^ vers 14 :
Pardonnez, cher ami, je ne me connais pas ;
La reine, oui, je l’avoue, oui, sa fatale vue
Porte au fond de mon âme une atteinte inconnue.
Je ne veux pas voiler à vos regards discrets
L’erreur de mon jeune âge, et mes troubles secrets.
Je vous dirai tien plus : l’aspect du diadème
Semble emporter mou âme au delà de moi-même. (1770.^^
Ibid, vers 23 :
Bannissons loin de moi le funeste soupçon
Qui règne en mon esprit et trouble ma raison. (1779.)
Page 471, vers i" :
Écoutez : j’ai moi-même élevé votre enfance ; Souffrez-moi quelquefois, généreux Alcméon, L’autorité d’un père aussi bien que le nom.
Ibid.j vers 8 :
J’ai d’un profond secret couvert votre origine ; Mais vous la connaissez ; et cette âme divine
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