Aller au contenu

Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome3.djvu/172

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

IG2 VARIANTES D’ADKL A i l)K DU GUESCI.IX.

SCÈNE M.

VENDOME, NEMOIJIIS, COUCY, officikr dks gardk :

I, ’ F F I C I F n. ’

Scifjneur, qu’à vos guerriers votre ordre se déclare : Le roi parait, il marche, et l’assaut se prépare.

COUCY.

Eh bien ! seigneur ?

\ E M u n s. Mon frère, h quoi te résous-tu ? N’est-ce donc qu’à demi que ton cœur s’est rendu ? Ta générosité vient de me fjiirc grâce, Ne veux-tu pas souffrir que ton roi te la fasse ? Veux-tu haïr la France, et perdre ton pays. Pour de fiers étrangers qui nous ont tant haïs ? Es-tu notre ennemi ? ton maître est à tes portes : Eh bien ?, ..

VENDÔME.

Je suis Français, mon frère, tu l’emportes : Va, mon cœur est vaincu, je me rends tout entier. Je veux oublier tout, et tout sacrifier. ’Trop fortunés époux, oui, mon âme attendrie, etc.

FIN DES VARIANTES D ADELAÏDE DU GUESCLIN.