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Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome3.djvu/447

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VARIANTES

DE LA TRAGÉDIE B’ALZIRE.

Page 385, vers i :

Me nomme un fils que j’aime.

Ihid., vers 7 :

les honneurs souverains.

Ibid., dernier vers :

Certes, Flerman, Pizarro, ont dirigé ma course.

Page 386, vers î. — Édition de 1736 :

En chrétiens vertueux changer tous ces héros.

Page 38.7, vers 29 :

Par un plus heureux choix.

Page 388, vers 22 :

Par cet exemple un jour.

Page 393, vers 19 :

au fier t^ran qui m’aime.

Page 39o, vers 10 :

Un amour si fidèle.

Page 396, vers 22 :

A mes vastes désirs.

Page 41 2, premier vers :

J’ai trahi mon amant, ses dieux et ma patrie.

/6« rf., vers 9 :

Qu’à la foi des chrétiens si je suis engagée, Sous ce culte divin mon devoir m’a rangée.