L’ENFANT PRODIGUE.
EUPHÉMON.
Ah ! ce serait niitrap : or la iiafiiro
(jiic do signer dans cetto conjoncture.
RONDON.
Serait-ce point la dame Croupillac
Qui sourdement fait ce maudit micmac ?
EIPHK.MON.
Kon, cette femme est folle, et dans sa tête Elle veut rompre un liymen que j’apprête : Mais ce n’est pas de ses cris impuissants (Jue sont venus les ennuis que je sens,
RONDON,
Eh l)ien ! quoi donc ? ce héquillard du coche Dérange tout, et notre affaire accroche ?
EUPHÉMON.
Ce qu’il a dit doit retarder du moins L’heureux hymen, objet de tant de soins.
LISE.
Qu’a-t-il donc dit, monsieur ?
FIERENFAT.
Quelle nouvelle A-t-il apprise ’ ?
EUPHÉMON.
ne, hélas ! trop cruelle. Devers Bordeaux cet homme a vu mon fils, Dans les prisons, sans secours, sans habits. Mourant de faim ; la honte et la tristesse Vers le tombeau conduisaient sa jeunesse ; La maladie et l’excès du malheur De son printemps avaient séché la fleur ; Et dans son sang la fièvre eni’acinée Précipitait sa dernière journée. Quand il le vit, il était expirant : Sans doute, hélas ! il est mort à présent.
RONDON.
Voilà, ma foi, sa pension payée.
LISE.
Il serait mort !
1. Une édition de 1773, conforme à la représentation, est la seule qui porte apprise. Dans toutes les autres, soit antérieures, soit postérieures, il y a appris. (B.)