Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome5.djvu/607

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BETHSABÉE.

C’est ce que je fais, mon bon mari.

DAVID.

Demeurez ici, ma bien-aimée ; je suis obligé d'aller donner des ordres à peu près semblables, pour le bien du royaume ; je reviens à vous dans un moment.

BETHSABÉE.

Non, cher amant, je ne vous quitte pas.

DAVID.

Ah ! je veux bien que les femmes soient maîtresses au lit, mais partout ailleurs je veux qu’elles obéissent.


fin du troisième acte.