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ACTE I, SCÈNE VIL 361

Je voudrais coDtciitoi- tout co ([iii m’np|)arlu’iil. Vous roudrp tous lietirciix ; (•"Csl là ce (|ui soiilieut, C’est J ; i ce (|iii console et qui charme la vie.

MADAME AUBONNE,

Vous me rendez confuse, et mon âme attendrie Devrait nK’ritci’mieux vos extrêmes bontés.

LA COMTESSE.

Qui donc en est plus digne ?

MADAME AUBONNE, tristomciif.

Ah !

LA COMTESSE.

^’os félicités S’altèrent du chagrin que tu montres sans cesse.

MADAME AUBONNE.

Ce beau jour, il est vrai, doit bannir la tristesse.

LA COMTESSE,

Va, fais danser nos gens avec les violons. Ton fils nous aidera.

MADAME AUBONNE.

Mon fils !… Madame… allons.

FIN DU PREMIER ACTE.