368 CIIAKl.OT.
De prendre, "quand je venx, devant madame Anhonne, Pour danser un menuet, la leçon (|u’il me donne.
I. K M Alton S.
Il donne des l(M ; ons ! Araiment il en a l’air. Prolîtez-vous beaucoup ? Et les payez-vous cher ? IL I.IE. ren dois avoir, monsieur, de la reconnaissance. Si vous êtes laché de cette préférence, Si mon i)etit menuet vous donne (pielque ennui ;, Que n’avez-vous appris…, à danser comme lui ?
LE MAIWUIS.
Ouais !
CIIARLOT.
Modérez, monsieur, votre injuste colère. Vous aviez assuré votre adorable mère Que d’un peu d’amitié vous vouliez n’honorer ; Mon cœur le méritait, il l’osait espérer.
(En montrant Julio)
Ce noble et digne objet, respectable à vous-même. M’a chargé dans ces lieux de son ordre suprême ; Ses ordres sont sacrés, chacun doit les remplir : En la servant, monsieur, j’ai cru vous obéir.
MADAME AUBONNE.
C’est très-bien rii)Osté ; Chariot doit le confondre.
LE MARQIIS.
Quand ce drôle a parlé, je ne sais (jue répondre. Écoute, mon garçon, je te défends… à toi,
(Chariot le regarik- fixement. ;
De montrer, quand j’y suis, de l’esprit plus ({ue moi.
MADAME AUBONNE.
Quelle idée !
JLLIE.
Eh ! comment faudra-t-ii donc qu’il fasse ?
LE MARQUIS.
Il m’offusque toujours. Tant d’insolence lasse. le ne le puis souifrir près de vous… En un mot, Je n’aime point du tout qu’on danse avec Chariot. IIJLIE.
Ma bonne, à quel mari je me verrais livrée ! Allez, votre colère est trop prématurée. Je n’ai i)oint de reproclie à recevoir de vous ; Et je n’aurai jamais un tyran pour époux.