VARIANTES DU DKPOSITA I KI<. 477
Souffrez qu’enfin ici j’en fasse l’ouverture, Pleine de confiance et d’une amitié pure. Je vis honnêtenioiit ; mais avec plus d’argent Je ferais plus de bien.
\ l \ G N.
Je le cr >is bonnement.
M. GARWT.
Il vous faut un état. Vous êtes de mon âge, Je suis aussi du vôtre.
MNO\.
Oui ; mais le mariage jKe convient point du tout à mon humeur ; je croi, Par cent bonnes raisons, qu’il n’est pas fait pour moi. Pour changer, il faudrait qu’une très-grande aisance Parût à ma vieillesse assui-er l’opulence.
M. G/^nA^T. Eii ! je viens vous l’offrir. De nos biens rassemblés, etc.
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11 faut que le crédit augmente votre aisance ;
Et, si vous le vouliez, j’aurais, par ce canal.
Un fortuné brevet de fermier général.
Nous ferions en secret mille bonnes affaires.
Qui produiraient beaucoup en ne nous coûtant guères ;
Et votre rare esprit, etc.
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M N N.
Il est vrai qu’on pourrait m’imputer par envie Je ne sais quoi d’injuste, et quelque hypocrisie.
M. GARANT.
Eh ! mon Dieu ! c’est par là qu’on réussit souvent ; Cette monnaie est fausse, elle a du cours pourtant. Que me sont, après tout, les enfants do Gourville ? Rien que des étrangers à qui je fus utile. Il faut l’être à nous seuls, etc.
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Alarguiilier, receveur, ayant beaucoup d’argent.
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GOURVILLE L’AÎMJ.
Voulant rester chez moi, monsieur Garant me donne Chez la discrète Aubert rendez-vous à dîner. Avec lui, me dit-il, il y doit amener Bientôt quelques docteurs, tous savants personnages, Parfaits chez les parfaits, etc.
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Vous avez oublié votre philosophie.