Non, toi seul as tout fait :
Tu mets à mon bonheur un invincible obstacle.
Tu crois donc, mon ami, qu’une femme en effet
Ne peut te haïr sans miracle ?
Je crois que dans l’instant à mon juste dépit,
Lâche, ton sang va satisfaire.
Je ferait comme il le dit.
Car je n’ai plus mon bel habit
Pour qui le peuple me révère,
Et ma personne est sans crédit
Auprès de cet homme en colère ;
Il le ferait comme il le dit,
Car je n’ai plus mon bel habit.
Apaise-toi, rengaine… Eh bien ! je te promets
Qu’aujourd’hui ta Glycère, en son sens revenue,
A son époux, à son amour rendue.
Va te chérir plus que jamais.
ciel ! est-il bien vrai ? Mon cher ami Grégoire,
Parle ; que faut-il faire ?
Il vous faut tous deux boire
Ensemble une seconde fois.
Sur cet autel Grégoire jure
Qu’on t’aimera.
Rien ne dure
Dans la nature
Rien ne durera,
Tout passera.
On réparera ton injure.
On t’en fera ;
On l’oubliera.
Sur cet autel Grégoire jure
Qu’on t’aimera.
Rien ne dure
Dans la nature
Rien ne durera,
Tout passera.
On réparera ton injure.
On t’en fera ;
On l’oubliera.