Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/146

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D’avoir ma part aux humaines faiblesses[1] ;
J’ai dans mon temps possédé des maîtresses.
Et j’aime encor à retrouver mon cœur.

  1. M. Louis du Bois rappelle, à l'occasion de ces deux vers, que Térence a dit
    dans l’Héautontimoruménos, acte Ier, sc. 1re :
    Homo sum ; humani nihil a me alienum puto.

    Mais est-ce réellement la même pensée qu'a voulu exprimer Voltaire? (R.)