Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/331

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Plus d’une fois, en portant la Pucelle Dessus sa croupe, il sentit l'étincelle

  • De ce beau feu... ( H.)

Vers 100 :

Mais voyagez aux confins d’Arcadie.

Vers 154. — Manuscrit


On va bien loin sitôt qu’on se fourvoie. Négligemment la belle sur son lit, Sans corselet, sans armes, s’étendit. Ses vêtements, qui se jouaient en ondes, Se relevaient sur ses deux cuisses rondes.

Le tentateur... (K.)

Vers 181 :

J’avais parlé deux fois à Balaam.

Vers 186 :

Le juste ciel récompensa mon zèle.

Vers 189 :

J’en eus autant; le Seigneur ordonna...

Vers 192 :

Je jouis donc d’un éternel printemps Dans le jardin de vos premiers parents Avec Enoch, dont je fus la monture. Là pour nous deux l’indulgontc nature Sans s’épuiser prodiguait ses présents. De ce jardin le maître débonnaire... (R.)

Vers 200 :

J’obéis mieux que votre premier homme.

Vers 202 »

Dieu l’emporta sur mon tempérament.

Vers 207. — Édition de 1736

« Plus de mille ans dans ce doux célibat.
Bientôt il plut au maître du tonnerre,
Au créateur du ciel et de la terre,
Pour racheter le genre humain captif,
De se faire homme, et, ce qui pis est, juif.
Joseph Panther et la brune Marie,
Sans le savoir, firent cette œuvre pic.
A son époux la belle dit adieu,
Puis accoucha d’un bâtard qui fut Dieu.
Il fut d’abord suivi par la canaille,
Par des Matthieu, des Jacques, des enfants :
Car Dieu se cache aux sages comme aux grands;
L’humble le suit, l’homme d’État s’en raille :
La cour d’Hérode et les geus du bel air