Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/465

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A de l’esprit humain posé la borne heureuse
Ces esprits qui semblaient de Dieu même éclairés,
Dans des feux éternels seront-ils dévorés ?
Porte un arrêt plus doux, prends un ton plus modeste,
Ami ; ne préviens point le jugement céleste ;