Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/472

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kCâ VARIANTES DE LA LOI NATURELLE.

��PREMIÈRE PARTIE

Vers 1"". — Dans la premièro (■dition la première partie commençait

ainsi :

Jo n'irai point d'abord, pliilosophe orgueilleux, Sur l'aile de Platon me perdre dans les deux :

  • licartons ces romans qu'on appelle systèmes,

■ lit pour nous élever descendons dans nous-mêmes.

■ Soit qu'un être inconnu, etc.

��Vers 7 ;

Vers 9 : Vers 19

��Nous sommes sous la main...

.... Exise-t-il de nous?

��Et sans vouloir sonder d'un œil philosophique Des mystères chrétiens l'amas théologique.

DEUXIÈME PARTIE

Vers 14. — Dans l'édition de 1773, on lit :

....N'en peut caresser une.

Vers 16. — Dans l'édition de 1756, il y avait :

Ici l'heureux aîné do tout est possesseur;

Aux lois de vos voisins votre code est contraire.

Qu'on soit juste, il suffit; le reste est arbitraire.

Vers 56 :

'Oui combat l'intérêt par l'amour du prochain; Pilote qui s'oppose aux vents toujours contraires De tant de passions qui nous sont nécessaires. 'On insiste, etc.

Vers 68. — C'est ici que vient un fragment précieux que Laharpe a fait imprimer, pour la première fois, dans son Lycée, ou Cours de Litléralure. « La Loi naturelle, dit-il, adressée d'abord au roi de Prusse, et faite à Berlin, fut dédiée, dans une édition subséquente, à la sœur de ce prince, la margrave de Bareith, chez qui Voltaire passa quelque temps, après ses brouilleries avec Frédéric... Très-peu de gens connaissent les vers que le ressentiment lui dictait alors contre Frédéric qu'il avait tant exalté. Il est bien extraordinaire qu'il les adressât à la sœur d'un monarque qu'il peignait comme on va le voir. » Mais on a vu dans la variante du vers 33 de ÏExorde

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