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pereur Othon à Florence » etc, vaudrait-il la peine d’être lu.

Les traductions de Richard[1] aussi me paraissent dignes d’intérêt en ce qui concerne le sujet traité.

Pensons encore aux Nouvelles de Cervantes ; je les ai déjà possédées un jour.

Pour le reste j’ai assez de ma provision pendant quelque temps ; je — lis peu.

Merci beaucoup pour Iphigénie.

Ci-joint quelque chose de Strasbourg,[2] mais pas du pâté de foie gras !

Salut au nom de notre Dieu !

Nous voyons-nous ce soir ?


49.

[printemps 1858 ?]
De tout cœur, bonjour !

Ma pauvre femme est tombée gravement malade ; donc j’accepte l’invitation pour demain pour moi seul.

Probablement ne serez-vous point chez vous aujourd’hui, sinon je serais venu le soir.

Chez moi tout est triste et gris, malgré l’aspect extérieur de plus en plus joyeux des chambres.

  1. C. Richard. Poèmes romantiques de Lope de Vega (1824/28).
  2. Progamme de la représentation du 15 Janvier, au théâtre de Strasbourg : « Aujourd’hui le Fou par amour par MM. Bourgeois et A. Dennery. Le spectacle commencera par l’Ouverture de Tannhäuser, musique de R. Wagner. »
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