Page:Wagner - À Mathilde Wesendonk, t2, 1905, trad. Khnopff.djvu/182

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Demain, je vais à Mayence, pour chercher de là, à Biebrich ou Wiesbaden, le nid où je pourrai couver musicalement cet œuf des Maîtres que je viens de pondre…

Si, avant de recevoir de mes nouvelles, vous désiriez m’écrire, adressez la lettre aux soins de J. B. Schott, fils, à Mayence.

Dieu vous garde, mon enfant !

Amitiés du
Maître.