tisme : il faut que l’on rie ! Il vous manque la mélodie pour les lieder de Walther : ceci est vraiment une chose indispensable. J’ai fait les vers diaprés la mélodie que j’avais en tête : vous ne pouviez pas vous l’imaginer, il est vrai. Écoutez donc, comme c’est simple ;
Fern mei-ner Ju-gend gold-nen To-ren zog ich einst
aus in Be-trach-tung ganz ver-lo-ren :]Le peuple n’entend de toute la chose que la mélodie : devinera qui pourra mon secret. —
J’ai lu le poëme pour la première fois à Mayence, le 5 Février, chez les Schott :[2] j’avais dû renoncer à vous le lire avant tout le monde. Mais, afin de trouver une compensation à votre absence, j’écrivis, avant de quitter Paris pour Vienne, à Cornélius[3] —dont vous entendrez parler davantage avec le temps — qu’il devait se trouver le 5 du mois suivant, le soir, chez les Schott, à Mayence, sinon je cesserais de le