Aller au contenu

Page:Wagner - La Tétralogie de l’Anneau de Nibelung, 1894.djvu/125

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

AVANT-PROPOS DU TRADUCTEUR

i2~

raie) Comme est bon que vous une seule ne sovez ! De trois, je plais bien à une.

En faut-il davantage ?

J’accède : « 0 chante encore si doux et nn, comme saint ce séduit mon oreille (1) Ils ajoutaient, je le sais, que c’était u œuvre modeste intéressante seule-

ment pour < quelques rares curieux a moi, je me

demande si même ces quelques rares curieux auraient eu l’intrépidité de lire quatre Drames d’un tel style, où je me refuse, dans tous les cas (et le lecteur avec moi, j’espère), à voir l’équivalent, xca~e~e/ï/~TMe~

~*<ïyïçaM, de la a conversation IDÉALE allemande Aussi

n’ai-je pas eu grand mérite, éclairé par ce précédent, à considérer le mot-à -mot, pour la Tétralogie du moins : comme un point d’arrivée ? jamais (2) ! Mocke !,etc. ; pour le Danemark, c<tuide M. Gjellerup pour la Norwège, celui do M. Gérard Schetdcrnp pour l’Espagne, celui de M. MarsiMachLleonart

pour l’Angleterre,celuide M.Dannreuther (n’oublions pas que M. Chamberlain est Anglais, encore qu’il écrive en allemand

et même. quelquefois, en français, des pages excellentes sur Richard Wagner. Ce qu’il réserve à sa patrie, c’est le fruit de ses études botaniques, et ptusieurs m’affirment que ce n’est pas peu de chose). Je ne parle là, bien entendu, que des publicistes et, parmi les publicistes, que de ceux dont les écrits me sont ou familiers, ou avantageusement connus. H est deux classes d’auteurs dont je ne pouvais mot dire i* ceux qui me revoient (ceux-là, qui m’aura lu les reconnaîtra) 2- ceux que je n’ai point lus.

(i) On trouvera, de cotte traduction (philologiquement littérale), d’autres extraits assez nombreux, dans mes Notes de la < Scène » Première de Z’jM-ttM,

pp. 223-2M. Aussi suis-

je forcé de signaler ces Notes, comme un élément de critique fort utile pour apprécier ma traduction personnelle quiconque, ayant à la juger, l’aura bien voulu comparer, d’abord, à celle de MM.Dujardin et Houston-Stowart Chamberlain, sera ensuite disposé, j’y compte, a m’approuver. Cf. encore, d’aiiteurs, ci-dossous, la note (i) de :a p. Ht.

(3) < Le mot-à -mot, quand il contrarie to tour naturel de notre langue, est la pire des traductions. M(Vit)emain). Cf. ci-dessousla note (1) do la p. 124.