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Page:Wagner - La Tétralogie de l’Anneau de Nibelung, 1894.djvu/83

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AYAXT-PHOPOS DU TRADUCTEUR

1U

de Wagner d’autres furent excellents qui, tirés à petit nombre, épuisés, introuvables, hélas ne seront jamais réimprimés (U. De <o :ts /e me SKfssero~ de ~OM3je vais me servir, mais, principalement, des derniers, parce que j’aurais des chances de faire plus mal, non mieux. Je réclame surtout licence de citer Wagner même, ne revendiquant pour moi d’originalité que celle du choix (souvent difficile) et du classement de ces citations. Ce tri, je l’effectuerai, autant qu’il sera possible, parmi les documents traduits en langue française ceux qui connaissent l’allemande n’ayant que faire de mon secours ceux qui ne la connaissent pas n’ayant que faire de renvois, à n’importe quel texte allemand de Richard Wagner. D’autant mieux serai-je à l’aise, pour en agir ainsi, que nul ne pourra l’attribuer, soit à l’ignorance de l’allemand, puisque j’en traduis quatre Drames, soit à celle des écrits théoriques de Wagner, puisque (quand même déjà. je ne les saurais par coeur) j’en achève présentement aussi la Traduction. Au surplus, le lecteur perdra-t-il rien au change ? J’aurais pu, saturé que je suis par ces écrits, en exprimer l’essence avec trop d’abondance

ou bien, ne partageant pas

toutes les idées de Wagner (sans doute en suis-je encore indigne), m’oublier à les discuter. Mieux vaut laisser Wagner se confesser lui-même au moins serat-il prouvé que s’il est si peu compris, ce n’est point ~) Surtout .es trois volumes de la ~<’fM<’W~tt~t<’MM<’ et spécialement, dans cette Hft’Mt, les articles de MM PtEtUtEet CHARLESRUXXtER,HocsT«x-STt :wAttT

CHAMBERLA !HcoOAxn

DUJARDtX,ALMEDEt~ST, DE FOURCAUU,TMnoK dp WY-ZEWA. Si je n’y ajoute pas ceux de M. CATUt.t.K MEXU~S,

c’est que chacun peut, encore maintenant, se les procurer en librairie (Htc/Mr~Ha< ;M<’r,

Charpentier, éd. Ce volume, dont H serait naïf de vanter l’admirable langue,no saunut ctrc déprécié par certaines erreurs singulières, dont je no m’expliquepas l’uriciné cf. Le Cr<’pM<fM~<</<’<t<’M.r, sccne entre Siegfried et tes

Filles-du-Rhin.)