Dans l’état de choses actuel, le Juif est en fait plus qu’émancipé ; il règne et règnera aussi longtemps que l’Argent restera la Force devant laquelle se briseront tout notre travail et tous nos efforts. Ce n’est pas le lieu de rechercher ici comment cette force a été transmise aux mains des Juifs, en dépit du sort malheureux du peuple israélite et de la rudesse des conquérants germano-chrétiens. Par contre, nous devons montrer comment le goût artistique public a été livré aux mains mercantiles des Juifs, et l’impossibilité qui existe de nos jours – à moins d’un bouleversement radical – à ce qu’on puisse créer en art quelque chose de naturellement et nécessairement beau.
Ce que l’homme des temps du moyen âge ou de la Rome antique payait à ses maîtres par des tortures et des tourments, le Juif l’a converti aujourd’hui en monnaie. Mais qui remarque que ces chiffons de papier aux allures innocentes sont rouges du sang de nombreuses générations ? Ce que les héros de l’art surent arracher au démon ennemi des arts, en des siècles et des siècles de luttes, d’efforts et d’infortunes, le Juif en fait aujourd’hui un article commercial. Qui songe que les productions artistiques contemporaines, si maniérées soient-elles, sont l’aboutissant de vingt siècles d’efforts incessants ?
Pas n’est besoin de prouver la judaïsation de l’art moderne ; elle ne fait pas de doute. Il serait nécessaire de remonter très loin dans l’histoire de notre art si nous voulions en rechercher les sources. Toutefois, si ce qui nous apparaît le plus nécessaire à cette heure consiste à extirper