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Page:Wagner - Lettres à Auguste Rœckel, 1894, trad. Kufferath.djvu/70

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mine. Pour un peu je noircirais encore une main de papier ; la matière ne manquerait pas ; mais réservons cela pour une autre occasion. J’espère — si tu le peux, — que tu ne me feras pas attendre une lettre de toi aussi longtemps que je t’ai fait attendre celle-ci. Parle-moi aussi et surtout de tes travaux. Si j’avais commis quelque oubli, je me rattraperais une autre fois. Sur quoi, adieu, cher et précieux ami. — Espère, — car au bout du compte, moi aussi j’espère encore.

Ton Richard Wagner.

Zurich, 26 janvier 1854. A Auguste Rœckel, Château de Waldheim (Royaume de Saxe) Franco.