Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/290

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Malgré des efforts de mémoire, il ne souvient pas d’avoir jamais rencontré une dénommée Diana Vaughan. Plus particulièrement, aucune personne de ce nom n’est venue chez lui, et encore moins pour copier des rituels qu’il pourrait avoir en sa possession. Il n’y a donc qu’un terme permettant de qualifier Mlle Vaughan dans son récit, et si je me retiens de l’utiliser, c’est plus par grâce littéraire que par des considérations de galanterie, car lorsque des personnes du sexe féminin choisissent de se rendre odieuses par une imposture grossière, elles ne peuvent pas espérer échapper aux conséquences légitimes de la critique, pas plus que d’autres femmes délinquantes n’échapperont à la justice en plaidant leur sexe.

Le sujet de la franc-maçonnerie luciférienne a été abordé dans les colonnes de Light bien avant la parution de ce volume, et un certain nombre de transcendentalistes, dont l’un très éminent — M. Charles Carleton Massey — quelques francs-maçons de haut grade et moi-même, avons dénoncé les prétentions de la conjuration française. Dans la plupart des cas, et par plus d’une personne,