Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/291

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des exemplaires de plusieurs numéros ont été envoyés à Mlle Vaughan par l’intermédiaire de son éditeur. Si elle n’est pas, comme je l’ai dit dans ce journal, la Mrs Harris de la franc-maçonnerie, il ne fait aucun doute qu’elles lui sont parvenues, tout comme les cadeaux amicaux qu’elle évoque dans des recoins étranges de ses mémoires. C’est probablement en raison des révélations faites dans Light en lien avec d’autres qui auraient été faites récemment au Canada que, dans le huitième numéro de ses mémoires, elle menace de s’attaquer avec quelque désespoir à ses critiques. J’ai ouï dire que le boomerang australien est une arme qui revient à son lanceur, de même, le sentiment de vengeance qui a poussé Mlle Vaughan à une nouvelle rafale de révélations est revenu la frapper de manière accablante. « Je suis motivée et je le ferai », telle est sa position. « Je vais révéler les palladistes anglais tels qu’ils sont réellement et personnellement. » Et elle le fait à ses risques et périls comme suit :

« Le chef actuel des Lucifériens anglais est M. le docteur William-Wynn Wescott, demeurant à Londres, Cambden-Road, n° 396. Précédemment, je ne l’avais désigné que par ses initiales.