Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/315

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jugé bon d’adopter, et que nous considérons la motivation qui s’attache généralement à ce genre, nous n’avons pas d’autre choix que de le placer totalement en dehors de toute considération. Son livre n’a évidemment de valeur que pour clore la question. Il a peut-être visité Charleston ; il a peut-être fait connaissance avec Albert Pike, Gallatin Mackey, Phileas Walder et sa fille Sophia ; trois de ces personnes sont mortes et ne peuvent pas témoigner ; la quatrième reconnaît qu’il l’a soignée à Naples ; elle proteste contre sa trahison, mais elle ne trahit pas en retour son identité maçonnique, bien qu’il soit inutile d’ajouter qu’elle ne confirme pas ses déclarations. Sur ces points, mes lecteurs peuvent raisonnablement se faire leur propre jugement.

Mlle Diana Vaughan est une femme qui, malgré sa grande notoriété, ne s’est pas révélée publiquement ; à une exception près, aucune personne crédible n’a jamais dit l’avoir vue ; cette exception est le Signor Margiotta. Contester son existence ne serait cependant pas la critique la plus virulente à son endroit ; nous pouvons accepter très volontiers tout ce que son ami italien a la bonté de dire au sujet de ses