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Et pour ses pieds vibrants et lumineux d’archange,
L’immense flux des mers s’érige en reposoir.
Et c’est les mains du vent et les bras des marées
Qui d’eux-mêmes poussent en nos havres de paix
Le colossal navire aux voiles effarées
Qui nous hanta toujours, mais n’aborda jamais.
(Les Forces tumultueuses.)