Page:Waller - La Flûte à Siebel, 1891.djvu/63

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


À TOI, ALFRED !


Pour Charles Sainctelette


Du temps où je roulais partout,
J’entrevis un homme posthume,
Qui, tout en singeant mon costume,
Ne me ressemblait pas du tout.

Il n’était pas trop mal, en somme,
Droit comme un canon de fusil ;
Pour camarade il me choisit,
Puis je n’ai plus revu cet homme.