Page:Waller - La Flûte à Siebel, 1891.djvu/62

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Mon âme ! il fait froid, levons l’ancre !
Allons-nous-en vers les lointains
Où l’on trouve les doux matins
Loin des horizons couleur d’encre ;

Allons-nous-en incognito,
Sans rien en dire aux journalistes !
Mon âme ! ne soyons plus tristes,
Et m’aide à passer mon manteau !