III
Grégory souffre. Il pense. Il revoit. Grégory n’aime pas Christine. Il n’a pas cessé d’être à Lysiane. Il a bercé sa passion dans un rêve de deux cents jours, mais la passion sommeille, la passion ne dort point. Les souvenirs sont des cendres jamais éteintes. Grégory s’est distrait jusqu’à l’illusion de la tranquillité ; Christine n’est pas son épouse selon la chair ; elle n’est qu’une ombre blanche qu’emporteront les brises… Pourquoi les fatalités et pourquoi les souffrances ? Notre nature est faite pour la joie et pour le bonheur ; que le reste s’efface et disparaisse ! Dans le luxe il ne doit point y avoir de trouble ; soyons grands, faisons-nous grands et contemplons notre grandeur, trouvons-nous Beau, Supérieur, Divin, et vivons avec l’Idole :