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pement de l’industrie le Traité de mécanique de d’Alembert et la Mécanique analytique de Lagrange ?


Principe des machines-outils. Les outils sont des transformations de mouvements. Inutile donc que le mouvement à transformer soit imprimé par la main.

Question : Peut-on créer des machines automatiques souples ? Pourquoi pas ?

Idéal : 1o qu’il n’y ait autorité que de l’homme sur la chose et non de l’homme sur l’homme.

2o Que tout ce qui, dans le travail, ne constitue pas la traduction d’une pensée en acte soit confié à la chose.

(Que le parcellaire soit le fait de la machine…) avec une idée universelle des transformations de mouvements…

Que toutes les notions physiques expriment directement des réalités techniques (mais sous forme de rapport) ; exemple : puissance.



Puissance que peut fournir une machine mue par une courroie de transmission (calculée à l’avance d’après la robustesse de la machine), dépend de :

N. de tours par sec. de l’arbre principal qui lui fournit son mouvement
Rayon de la poulie montée sur cet arbre à laquelle elle est reliée .
Vitesse linéaire de la courroie.
Coefficient de frottement () [qui augmente quand le glissement varie en augmentant ?]
Pression (fonction de la tension du brin conduit ).
Arc enveloppé sur l’une et l’autre poulie ().
Effort tangentiel.
, étant la base des logarithmes népériens.


Différence entre filetage, cylindrage, détalonnage.