Page:Weustenraad - Poésies lyriques, 1848.djvu/298

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Jamais le Tout-Puissant n’éleva sur nos plages
Des phares plus nombreux pour éclairer les âges ;
Guidé par leurs fanaux, l’homme s’éloigne en paix ;
Il parcourt, triomphant, le globe qu’il explore,
Et, grand à son départ, revient plus grand encore,
Pour bénir le Seigneur et chanter ses bienfaits.




FIN