Page:Weustenraad - Poésies lyriques, 1848.djvu/81

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Né, comme son pays, au milieu d’un orage,
Qu’il grandisse, avec lui, sous un ciel plus serein !
Que toujours sa vertu, que toujours son courage
S’élève à la hauteur de son noble destin !
Qu’il n’abaisse jamais, devant l’orgueil des mitres,
De son front mâle et fier la libre majesté,
Et peut-être le peuple, en faveur de ces titres,
L’absoudra de la Royauté.