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À MA FILLE JULIETTE


C’est avec plaisir que j’inscris ton nom aimé en tête de ce nouvel ouvrage, bien que ce ne soit qu’une pâle traduction. Car j’espère qu’un jour tu voudras le lire et le comprendre et qu’alors tu posséderas les belles qualités de Dougaldine, sans en avoir ni les préjugés ni l’impitoyable orgueil.

P. C.