Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/105

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

veront un havre dans quelque baie et ainsi nous aussi nous ferons.

Et ici il n’y a rien à faire que de nous baiser de nouveau et nous séparer. Ah ! Il n’est rien que nous ne puissions affronter. J’ai ma Beauté, vous avez votre Art. Ah ! Ne vous arrêtez pas. Un monde n’est pas assez pour deux êtres comme vous et moi.