Page:Willy - La Maîtresse du prince Jean.djvu/256

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— Zut !… Ah çà !… Je… En voilà deux salopiauds ! Il ne manque ici que Maugis. Il me raconterait peut-être que… que le prince Jean en porte de ces trucs-là. S

ur ce, il saisit le « truc » que lui tend toujours son beau-frère, et le jette violemment an nez de Beigdebez.

— Clac !

L’élève exhibe d’abord un bâillement stupéfait. Pourtant, assez vite rasséréné, il ramasse la ceinture qui l’a si rudement mouché et, d’un ton apostolique, il prononce :

— Pour un auteur dramatique, vous n’êtes guère raisonnable, monsieur Lauban. La pile est délicate et fragile. Vous pouviez la détraquer.

Et il quitte l’officine.

— Dis donc, Poésie, fait doucement Renard, tu ne l’as pas manqué.

— Fallait pas qu’il m’embête !

— C’t’évident. Je te comprends parfaitement bien. Je t’approuve. Que nous deux, en famille, nous parlions d’appareils… de trucs spéciaux… c’est notre droit, presque notre