Page:Yver - Mirabelle de Pampelune.djvu/163

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qui se rendaient rien qu’à sa vue, tandis que plus loin ses hommes lançaient des grenades pour vaincre la dernière résistance des ennemis menaçants. Oui, ma chère Louise, dites à mademoiselle Édith qu’elle peut être fière de lui. »

    Qu’un ami véritable est une douce chose !