Page:Yver - Mirabelle de Pampelune.djvu/204

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cents ans, sous le manteau blanc de la chevalerie, telle je la retrouve aujourd’hui, le visage plus grave, un peu assombrie par les méditations de la science, environnée des fumées de l’industrie, des chemins de fer et des paquebots, mais ornée de la même flamme, de la même jeunesse et du même attrait qui séduit le monde, et trouble jusqu’à ses barbares ennemis. Je lève mon verre à la France de Mirabelle et à la France d’Edith Bouchaud et de Louise Lecointre !

Et chacun leva son verre à la France immortelle.