Page:Zamenhof - Discours lors du premier congrès universel d’espéranto, paru dans L’Espérantiste, octobre 1905.djvu/13

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impossible de se comprendre. Des prophètes et des poètes rêvaient d’un temps nébuleux, très lointain, dans lequel les hommes se comprendraient de nouveau, et s’uniraient de nouveau en une seule famille ; mais ce n’était qu’un rêve. On en parlait comme d’une fiction très douce, mais personne ne le prenait au sérieux, personne n’y croyait.

« Et, maintenant pour la première fois, le rêve