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Page:Zo d’Axa - Endehors.djvu/149

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Et le dénouement : Robert tuant son ami d’un coup de couteau en pleine gorge et le sang qui a rejailli sur lui, le lavant dans la pleine eau noyante de la Seine — un assassinat, un suicide.

Par quelles dramatiques successions de pensées en sont-ils arrivés là, les misérables ?

Peut-être le mot de cette énigme que, d’une façon précise, nul ne saura jamais, est-il une dernière pudeur dans l’âme d’un tourmenté qui s’est dit :

— Assez ! mon esprit s’écœure, et hurlent mes sens. Point de luttes possibles contre les lancinants désirs… disparaissons !

Et sur les dalles de la Morgue deux cadavres de plus se sont étendus.


Que les sans-pitié plaisantent, que les prudes se couvrent la face, que les moralistes crachent leur fiel, facile c’est !

Facile encore de gloser sur une suprême indulgence.

Nous, quand même, oserons parler, dire