Page:Zo d’Axa - Endehors.djvu/170

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c’est demain le terme et elle n’a pas le premier sou. Celle-là vous supplie de ne plus la suivre, elle attend quelqu’un ; je t’en fiche !..

Il y a une bonne blague à faire.

Et les persécutions se multiplient, pleutres. Et on les poursuit ces filles, ces rosses qui cherchent du pain la nuit par des moyens si drôles. On les poursuit, on les conspue, on les chahute… Alors, un moment elles se redressent, elles se révoltent et vlan ! elles vous soufflètent, et c’est avec n’importe quoi, avec ce qu’elles ont sous la main.

Parfois, c’est un parapluie.


Elle est gaie, la noce qu’on fait ; et intelligente aussi. Les journalistes rappellent : la Fête. Elle est jolie.

Mais, comme c’est une tradition dans un certain monde de lettres et dans celui du calicot, il est des plumes qui s’agitent. Elles sont vengeresses.

Un valeureux chroniqueur, dont le nom rappelle le père Bugeaud et sa casquette, écrit un