Page:Zo d’Axa - Endehors.djvu/178

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On se rappelle que vous vivez, seulement lorsque le feu vous tue. Alors, en dilettante, on cause un peu de vous, on fait la fête, on fait l’aumône et puis c’est tout.

On ne veut pas vous connaître.

Et je voudrais, moi, que par nos rues parisiennes bordées de provocateurs magasins, un beau jour, vous passiez en bandes.

Vous nous devez une visite ; faites-la !

Défilez lentement, sur nos boulevards, en vos costumes sombres ; défilez, très calmes, avec dans vos poignes vigoureuses, les outils de travail : vos haches et vos pics.