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LES ROUGON-MACQUART.

geaient, entrecoupés par le halètement des poitrines. Étienne et Maheu riaient de confiance, certains désormais du triomphe : lorsque l’Internationale aurait envoyé des secours, ce serait la Compagnie qui les supplierait de reprendre le travail. Et, dans cet élan d’espoir, dans ce galop de gros souliers sonnant sur le pavé des routes, il y avait autre chose encore, quelque chose d’assombri et de farouche, une violence dont le vent allait enfiévrer les corons, aux quatre coins du pays.