Page:Zola - La Débâcle.djvu/601

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

fuyards. Autour d’eux, les incendies flambaient plus haut, les fenêtres vomissaient de grandes flammes rouges, tandis qu’on entendait, à l’intérieur, l’écroulement embrasé des plafonds. Et Jean s’abattit près de Maurice, sanglotant, le tâtant, tâchant de le soulever, pour voir s’il ne pourrait pas le sauver encore.

— Oh ! mon petit, mon pauvre petit !