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LA FAUTE DE L’ABBÉ MOURET.

Elle marcha devant eux, emportant tout, se taisant, de peur d’en trop dire. Et, comme l’abbé Mouret avait gardé les deux bouquets séchés à la main, Frère Archangias lui cria, en passant devant la basse-cour :

— Jetez donc ça !

L’abbé fit encore quelques pas, la tête penchée ; puis, il jeta les fleurs dans le trou au fumier, par-dessus la claire-voie.