Cette page n’a pas encore été corrigée
avaient eu peur et qu’ils étaient partis à pied du côté d’Aix. Elle ajouta qu’ils avaient emmené son fils pour leur servir de guide dans les collines.
Ainsi, la dernière espérance était morte. Marius, anéanti revint à Marseille, sans entendre les paroles d’encouragement de l’abbé Chastanier. Il songeait aux fatales conséquences de la folie de Philippe ; il se révoltait contre les malheurs qui allaient frapper sa famille.
« Mon enfant, lui dit le prêtre en le quittant, je ne suis qu’un pauvre homme. Disposez de moi. Je vais prier Dieu. »