Page:Zola - Les Trois Villes - Rome, 1896.djvu/173

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connus l’un après l’autre, si grands dans l’obstination de leur espoir, ils étaient là tous les deux, debout à l’horizon, sur leur ville anéantie, au bord du ciel que la mort semblait prendre. Était-ce donc que tout allait ainsi crouler avec eux, que tout allait s’éteindre et disparaître, dans la nuit des temps révolus ?