Aller au contenu

Page:Zola - Naïs Micoulin, 1884.djvu/118

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

poussa cette plainte d’enfant, qui était la négation de sa vie entière :

— Je ne suis pas heureux… Je ne suis pas heureux…

Il pleurait, la tête tombée sur son bureau, et ses larmes chaudes effaçaient la lettre qui le nommait ministre.